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La Phytonutrition : de quoi s'agit-il ?

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La phytonutrition établit la relation entre la santé, la prévention et l’alimentation.

Elle se définit comme le pilier central d’une médecine préventive destinée à modifier nos habitudes alimentaires et notre approche de la Santé.

La phytonutrition a pour vocation d’adapter les besoins phytonutritionnels d’un individu à travers une hygiène alimentaire équilibrée, en association à une supplémentation personnalisée.

La phytonutrition a pour objectif de conserver une Santé optimale chez les personnes bien portantes tout en dépistant en amont leurs carences et les faiblesses de leur organisme.

Le renforcement de l’organisme grâce à un apport nutritionnel permettra ainsi à chacun de vivre en meilleure santé.

La phytonutrition est l’alliée incontournable de notre Capital Santé.

Au fil des ans et plus particulièrement ces trente dernières années, nos habitudes alimentaires ont subi une transformation radicale.

Une augmentation effrénée d’apport calorique au détriment d’une diversité et d’une densité en phytonutriments engendrent de manière exponentielle un nombre conséquent de pathologies comme fatigue chronique, stress, dépression, pathologies cardiovasculaires, etc.

Il est délicat, voire impossible dans notre société actuelle d’entretenir un équilibre alimentaire riche en phytonutriments en raison de notre mode de vie, de l’industrialisation des modes de culture et des techniques de conservation.

Pour illustrer ces propos, une statistique est édifiante.

Entre 2008 et 2010, l’espérance de vie a augmenté approximativement de 4 mois, s’élevant à 84,9 ans pour les femmes et à 78,5 ans pour les hommes.

Mais paradoxalement, l’espérance de vie en bonne santé (c’est-à-dire sans incapacité) a chuté d’une année durant cette même période, s’établissant à 63 ans pour les femmes et à 62 ans pour les hommes.

Ceci démontre une volonté affirmée d’une politique de santé principalement axée sur une approche curative au détriment d’une pédagogie et une sensibilisation préventive.

Il est capital aujourd’hui de prendre conscience de l’importance de notre hygiène alimentaire et de l’intérêt d’une supplémentation phytonutritionnelle lorsque l’alimentation ne peut répondre, seule à l’équilibre de notre organisme.

Plusieurs métabolismes sont concernés par cette approche phytonutritionnelle avec notamment le métabolisme digestif, principal acteur, la transmission cellulaire dont dépendent les acides gras essentiels, la fonction cognitive ainsi que la protection cellulaire (stress oxydatif).

Se caractérisant par une nouvelle approche de santé, la phytonutrition tient son essence du lien existant entre alimentation, santé et prévention.

La genèse de cette discipline est l’idée que dans le cas où les besoins des tissus de l’organisme sont assurés de manière optimale, la probabilité que des troubles fonctionnels ou une pathologie se manifestent est moindre.

Le traitement médical conventionnel vise en premier lieu à rectifier l’atteinte et à soulager la douleur.

Lors de l’apparition d’une infection, un déséquilibre nutritionnel cellulaire peut apparaitre, l’objectif de la phytonutrition sera de rétablir cet équilibre.

De plus, il est à envisager que la restauration d’équilibres perturbés pourrait favoriser une meilleure efficacité de toute thérapie initiée.

La prise en charge phytonutritionnelle ne s’oppose en aucun cas à l’acte médical conventionnel et n’est pas antinomique. Au contraire, bien menée, elle s’avère bénéfique et va diminuer les effets secondaires.

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Champs d’application et grands principes :

Recherche de l’équilibre biologique

(maintien ou rétablissement) en évitant des excès ou déficiences néfastes

Supplémentation phytonutritionnelle raisonnée destinée à l’obtention d’effets synergiques

Etude du patrimoine génétique, chaque individu possédant un héritage biologique personnel

Etude des habitudes alimentaires liées aux traditions familiales et régionales

Activation des défenses naturelles contre les agressions causées par l’absorption de «toxiques » représentés par les drogues, l’alcool, le tabac ou surconsommation médicamenteuse

Les champs d’application sont multiples.

En voici quelques exemples :

• Préservation du Capital Santé et du Bien-Être quotidien

• Prévention des pathologies cardiovasculaires et du syndrome métabolique

• Prévention du vieillissement, des maladies dégénératives et du stress oxydatif

• Prévention de l’ostéoporose et des symptômes ménopausiques

• Prévention de l’obésité

• Troubles du métabolisme digestif

• Troubles de l’humeur et du sommeil

• Prise en charge du sportif : optimiser les performances sportives.

• Troubles ORL (acouphènes, infections à répétition, otites, sinusites)

Chaque rôle physiologique dépend de la présence optimale des molécules qui y participent.

Une cellule « mal nourrie » aura tendance à engendrer un dysfonctionnement à l’échelle des tissus, engendrant à son tour des troubles fonctionnels (fatigue, troubles digestifs, troubles ostéo-articulaires, troubles infectieux, troubles cutanés ou circulatoires, troubles ORL).

L’aliment agit et interfère sur la santé de l’individu à plusieurs niveaux :

Fournisseur d’énergie permettant un fonctionnement global des cellules de l’organisme

Réservoir de phytonutriments pour assurer une fonction optimale des cellules

Messager pour moduler l’expression des gènes

Facilitateur ou perturbateur de l’écosystème digestif

Les troubles fonctionnels chroniques coïncident avec un nombre limité de failles du métabolisme souvent incriminées (régulation hormonale, nerveuse et protection cellulaire) et principalement deux organes (cerveau et intestin).

Quatre métabolismes capitaux :

le métabolisme intestinal : il joue un rôle capital pour l’assimilation des nutriments et est le siège de l’immunité (défenses de l’organisme, grâce à tous ses systèmes enzymatiques et à sa flore intestinale)

le métabolisme membranaire : les membranes cellulaires sont composées d’acides gras saturés et insaturés (oméga 3 et oméga 6), leur équilibre permet une meilleure souplesse des membranes et donc une fluidité indispensable au bon fonctionnement cellulaire

le métabolisme cognitif : le cerveau, pour fonctionner correctement, utilise les protéines alimentaires nécessaires à la synthèse des neuromédiateurs qui régulent notre comportement, notre humeur ou encore notre sommeil

le métabolisme de la protection cellulaire : les cellules de l’organisme utilisent l’oxygène afin de fournir l’énergie nécessaire

. Une partie de cet oxygène est à l’origine de la libération de dérivés très agressifs appelés radicaux libres que l’organisme doit neutraliser. Il s’agit de la protection cellulaire composée d’enzymes anti radicalaires et des piégeurs de radicaux libres issus principalement de notre alimentation.

Ainsi, la phytonutrition va optimiser l’état de santé de l’individu en explorant et renforçant ces quatre métabolismes synergiques.

L’objectif est de renforcer leur fonctionnement afin d’éviter tout déséquilibre responsable des symptômes ressentis au quotidien ( fatigue, stress, troubles de l’humeur, troubles du sommeil ou de la mémoire, douleurs diffuses, fragilité osseuse et tendineuse, problèmes orl, cutanés, hormonaux ou digestifs…) mais également à moyen terme (pathologies inflammatoires, cardiovasculaires, neurovégétatives, certains cancers, diabète insulino résistant, dégénérescence maculaire liée à l’âge, asthme…).

La mission de la phytonutrition est d’assurer l‘apport optimal des aliments et donc des phytonutriments grâce auxquels il sera possible d’assurer un bon état de santé global ou prévenir les pathologies.

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